Fabrice Souloy dans la tourmente>>DOPAGE<< !!!!!!!!!!

[MARCB]

[quote=rodeur60]Suspension à vie requise contre Fabrice Souloy !

Fabrice Souloy sera jugé au printemps !

La fédération Norvégienne de Trot a requis la suspension à vie et une amende d'environ 30.000 euros à l'encontre de Fabrice Souloy. Le 12 juin 2016, l'entraîneur normand, par ailleurs suspendu un an en France, a vu quatre de ses élèves : Your Highness, Un Mec d'Héripré, Lionel et Timone Ek, contrôlés positifs au cobalt.[/quote]
30 000 euros cela parait ridicule au vue de l argent amasse en trichant !!!!et blousant ainsi bon nombre de parieurs et de petits proprietaires reste honnetes

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La Norvege ne lui fera pas de cadeaux !

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CÔTÉ PARIEURS : LE COBALT DÉCHAÎNE LES PASSIONS !

Le lendemain de Noël, cinq entraîneurs ont été sanctionnés en France pour une durée d'un an suite à un contrôle positif au cobalt de l'un de leurs pensionnaires. Invités à s'exprimer sur la sanction, les internautes de “Paris-Turf” ont estimé la peine “justifiée” à 58,2 % (577 votes), au terme d'énormément de votes et de réactions. Premier argument invoqué, l'égalité des chances : “Normal, il y a des règles à respecter pour que tous les entraîneurs jouent dans la même cour.” Mais ce n'est pas le seul élément. Ainsi, vous êtes nombreux à mettre l'accent sur le bien-être de l'animal : “C'est inconcevable de faire subir de tels traitements aux chevaux de course.” N'oublions pas non plus que “les turfistes sont en droit de parier sur un sport propre”. à juste titre, un internaute fait remarquer que “c'est l'argent des parieurs qui fait vivre les courses hippiques”.

Une préoccupation qui renvoie à l'image même des courses avec le nom de Fabrice Souloy parmi les entraîneurs incriminés, son aura dépassant largement les frontières de l'Hexagone. C'est ce qui focalise essentiellement l'attention du tiers des internautes (277 soit 31,2 %) jugeant ces sanctions insuffisantes. Ainsi, on évoque “le mépris des turfistes” et certains n'hésitent pas à plaider pour une “radiation à vie” en évoquant le remboursement “de la perte d'argent des parieurs victimes de tricherie”. Revient également la question des prête-noms “non résolue” selon nombre d'entre vous : “Les entraîneurs en cause récupèreront l'ensemble de leur écurie dans un an, continueront à superviser le travail et tout repartira comme avant…” Et d'ajouter : “On ne badine pas avec la confiance de plusieurs millions de turfistes car c'est l'institution toute entière qu'on détruit !”

Enfin, une petite minorité (94 soit 10,6 %) trouve ces sanctions trop sévères. Est alors évoquée la limite entre les soins et le dopage à proprement parler, même si un internaute concède “un manque de vigilance dans les contrôles après soins est déjà grave de conséquences”. Et c'est bien là la morale de cette affaire, ce sont les conséquences qu'elle implique, surtout en termes de crédibilité.

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ÉRIC DUPOND-MORETTI À VINCENNES :

Faisant appel de la sanction de la SECF, Salvatore Campolo et Stéphane Soenen (son propriétaire), à l’extrême gauche de la photo, se sont présentés, en compagnie de leur avocat, Maître Dupond-Moretti, et de son assistante, Jeanne Audeon, face au Comité Supérieur de la SECF, ce jeudi, à Vincennes. Le célèbre avocat est notamment réputé pour le nombre record d'acquittements qu'il a obtenus sur le territoire français.

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Après le cobalt, un nouveau produit prohibé détecté :

ET MAINTENANT : LA GLAUCINE !!!!!!!

>>>55 cas positifs aux Etats-Unis !

Cet anti-inflammatoire et bronchodilatateur, appelé aussi Boldine, n'est recherché que depuis 2016 aux Etats-Unis. Mais déjà, cinquante-cinq cas positifs ont été enregistrés dont six galopeurs. Très présent lors des courses Premium PMU à Yonkers, l'entraîneur Richard Johnsson vient d'être suspendu pour quarante-cinq jours et a écopé d'une amende de 1.500 $. Son pensionnaire, le trotteur de 5 ans Rubber Duck, a été contrôlé positif à deux reprises l'année passée sur l'hippodrome de la banlieue New Yorkaise. En 2017, Rubber Duck a gagné le 8 et le 15 janvier de nouveau sur l'ovale à l'occasion d'un programme PMU, mais le résultat des contrôles n'est pas encore connu.

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"L'affaire cobalt a été la honte de notre famille."

GÖRAN ANTONSEN : “DEUXIÈME DIMANCHE, JE SIGNE AUJOURD'HUI...”

En Norvège, il faisait figure de bon cheval, mais rien ne laissait présager qu'il pourrait faire la carrière qu'il a ensuite effectuée en France sous la férule de Fabrice Souloy, avec comme point d'orgue le Grand Prix de Paris 2016 aux dépens de Bold Eagle. Le propriétaire pour moitié de Lionel assume ses choix avant que son protégé ne tente de conserver son titre.

• Comment se présente la course ?

Kirsi Manninen, qui s'en occupe à Grosbois, estime que le cheval est dans sa forme du Prix d'Amérique.

• Ce jour-là, il a été très bon...

Franck Nivard le présentait comme le plus sérieux rival de Bold Eagle. Il ne l'a jamais franchement inquiété. Mais impossible de faire la fine bouche. Troisième d'un Prix d'Amérique, c'est grand pour l'élevage norvégien. Et puis, s'il avait été inexistant, on aurait dit que ce n'était qu'un cheval “artificiel”. Lionel a redoré son image sur la piste.

• Il n'a pu répéter dans le Prix de France...

Daniel Redén n'était pas “chaud” pour le courir. J'ai insisté. On n'a rien vu, selon moi, car Matthieu Abrivard n'a pas respecté les ordres. C'est moi, et personne d'autre, qui ai décidé de résilier le contrat moral qui nous liait.

• Vous y croyez alors pour dimanche ?

Évidemment, même si j'ai vu que le Bold Eagle de cet hiver est meilleur que jamais. Deuxième : je signe maintenant !

• Le Prix de France, Matthieu Abrivard, Oslo, vous avez pris vos responsabilités comme d'ailleurs avec Fabrice Souloy...

C'est certain que sans Fabrice Souloy, nous ne serions pas là à faire cette interview. Il a fait de Lionel un champion, mais lorsque l'affaire du cobalt a été effective, nous ne pouvions plus continuer ensemble.

• Vous avez insisté pour courir Lionel dans le Grand Prix d'Oslo...

Fabrice ne voulait pas courir. Pour moi, c'était l'aboutissement d'un rêve, comme peut l'être celui d'un gamin français, fils d'un entraîneur, à l'heure du Prix d'Amérique.

• Lors de cette course, votre cheval a été testé positif au cobalt...

Oui. Le rêve s'est transformé en cauchemar. Une véritable honte. En France, vous ne pouvez pas mesurer l'impact. Chez vous, cela passe inaperçu dans les médias. En Norvège, au pays où vous n'avez pas le droit de cravacher un cheval, imaginez... Cela dit, ce n'est pas la presse qui a décidé pour moi.

• Le taux était élevé et pourtant…

Cela ne l'a surtout pas fait avancer plus vite. Nous avons terminé mauvais sixième. Mais peu importe, pour notre famille, cela a été la honte. J'ai alors décidé de couper les ponts avec Fabrice.

• La suite du programme est-elle entre vos mains ?

Cela va dépendre de dimanche. Il devrait ensuite courir le Critérium de Vitesse à Cagnes, puis le Prix de l'Atlantique. Ensuite, je vais le reprendre à l'entraînement. Il ne fera pas la monte avant 2018......

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BERTRAND LE BELLER SUSPENDU UN AN !

Le cheval français, dans son bulletin officiel ce jeudi 2 mars, a décidé de suspendre Bertrand Le Beller pour un an en tant que driver et entraîneur.

Cette décision prend effet dès le vendredi 3 mars. Cette suspension fait suite à un contrôle positif de la jument Austine de Vauvert, arrivée 4e, du Prix Samuel Mignot, à Castéra-Verduzan, déroulé le 23 octobre 2016. Le prélèvement sanguin en cause a révélé une concentration trop importante de dioxyde de carbone.

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Quel retournement de situation ! Il n'a pas fallu plus de cinq minutes à la justice de l'Etat de Victoria pour mettre fin à vingt-six mois de turpitudes. L'Australie du galop respire. Condamnés à 3 et à 4 ans d'interdiction d'exercer leur profession, les entraîneurs de renom, Mark Kavanagh et Danny O'Brien ont été blanchis. En 2015, ils avaient vu un de leur pensionnaire contrôlé positif au cobalt dans des proportions cent fois plus élevées que le taux autorisé. Les juges, après une longue enquête, ont estimé que les autorités hippiques avaient mal conduit les opérations de contrôle. Fort de ce jugement, les deux entraîneurs pourraient se voir attribuer des dédommagements pouvant aller jusqu'à six millions de dollars australiens.

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Plus de quatre mois après l’officialisation des sanctions contre cinq entraîneurs français dans l’affaire dite du Cobalt, “Paris-Turf” a souhaité faire le point avec le Directeur Technique du Trot, Guillaume Maupas...

• Le 26 décembre, le Trot a pris des sanctions envers cinq entraîneurs ayant utilisé sur un ou plusieurs de leurs représentants un produit interdit, le Cobalt. Estimez-vous les sanctions prises à leur encontre suffisamment dissuasives ?
 
Je constate tout d’abord qu’aucun autre cas n’est à déplorer depuis. C’est pour les Commissaires de la SECF la conséquence principale des décisions prises. Une sanction a bien évidemment un côté répressif mais doit jouer aussi son rôle de prévention. Les décisions ont été prises en application des dispositions actuelles du Code des courses au trot. Elles étaient conformes au barème indicatif des sanctions adopté par le Comité dans le cadre du contrôle des médications et de la lutte antidopage. Il existe dans notre pays des règles de droit que les Commissaires de la SECF, dans leurs décisions, se doivent de respecter. C’est d’ailleurs pour cette raison que tous les jugements rendus par les tribunaux ou cours d’appel administratives ont tous confirmé les procédures et la légalité des décisions rendues. C’est primordial, car cela démontre aux professionnels qu’il y a un respect total des procédures en vigueur.

• Des turfistes ont constaté la présence de professionnels sanctionnés dans les écuries d’hippodromes de province. La consigne d’exclusion desdits entraîneurs des locaux du pesage et des enceintes professionnelles a-t-elle été passée partout ?
 
Aucun manquement ne m’a été signalé à ce sujet et les Commissaires de la SECF n’ont pas été saisis du non-respect des termes de leurs décisions. Si tel était le cas, il est bien évident qu’une enquête serait immédiatement ouverte. Les décisions - largement commentées par les différents observateurs - ont été publiées au bulletin de la SECF et sont connues de tous. Les Commissaires de la SECF n’ont pas les moyens de contrôler tous les déplacements des personnes concernées et ils comptent sur les Commissaires des courses des sociétés régionales pour leur signaler d’éventuelles infractions.
 
• Dans une interview parue dans nos colonnes, vous indiquiez que des propositions de modifications réglementaires concernant l’usage des “prête-noms” pourraient être suggérées au Comité de la Société, qu’en est-il quatre mois plus tard ?
 
Un premier volet de mesures sera présenté pour adoption au Comité le 16 mai prochain, sur proposition des membres de la Commission des Programmes et du Code, concernant l’absence de chevaux lors de contrôles à l’entraînement. En ce qui concerne les entraîneurs suspendus, la réflexion se poursuit. Avec une préoccupation principale : s’assurer de la légalité des propositions qui seront faites. Pour les cas évoqués, les Commissaires de la SECF ont validé les solutions qui leur ont été proposées, après avoir pris attache, dans certains cas, avec le Service Courses et Jeux du Ministère de l’Intérieur. Ils diligentent d’ailleurs des contrôles fréquents dans les centres d’entraînement concernés, pendant toute la période de suspension.

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Ringostarr Treb, troisième de la Sweden Cup, a été contrôlé positif pour une course antérieure disputée en Italie. Le pensionnaire d'Holger Ehlert avait notamment remporté sa batterie qualificative (la deuxième). Il a été testé positif à des analgésiques et au phénylbutazone (un anti-inflammatoire non stéroïdien). La fédération italienne l'a interdit de courir dès mardi. On ne sait pas encore si cet incident le privera de sa troisième place dans la Finale de la Sweden Cup.

Holger Ehlert avait connu la même mésaventure en 2006 lors de l'Elitloppet où son élève Lets Go avait été contrôlé positif et disqualifié de la deuxième place de la course finale.